On ne s'asseoit que sur ses fleurs bleues
Et je suis pauvre de mes bleus
Tanines sont les espéraces
Qui raclent le font de tes
Déchéances
Ivres sont les estomacs
Qui hurlent après la plèbe de tes tripes
Vides sont les entrelacs
Qui engrenagent tes récifs
Belles femmes de lumière
Belliqueuses des tes lunes
Jamais je m'entre-maître
De tes délicieuses prunes.
Celles que tu caches dans ton col
Celles que tu bouffes dans ton beffroi
Celles que tu broies comme du formol
Dans les interstices de tes doigts
Juteuses choses qui m'engrainent
Justes phrases de ta dentition
Croquants moments qui me sèment
Jusque dans ta
Déperdition