Entendre un de tes morceaux me rappelle ces longs et paisibles moments à Anatole, lorsque tu jouais durant des heures et que moi je m'avachissais sur l'un des trois vastes canapés pour ne pas frôler le parquet grinçant qui pourrait interrompre la mélodie, et que je t'écoutais, regardant tes doigts qui dégringolaient sur les marches noires et blanches du palais imposant qu'était le piano.
Demain c’est les vacances de fin d'année et c’est pour moi un petit cadeau de Noël que tu me fais.