07 octobre 2009

Ecriture automatique.

   Quatre fois violence sache que tu craches sur la peau zébrée de l'inconscience des états d'âme des grenouilles verts sont tes yeux couleur or et peau et bois ébène sont tes lèvres muqueuses douces et sous l'eau coulent les sacrées sucreries de ton amour pour moi chante moi quelque chose chante moi tes baisers doux tes étreintes de l'automne dernier : feuilles orangées valsant sur la chaussés et moi seulement chaussée du fruit de ton amour bien pâle est l'iris de ce ciel bleu souris souris moi encore tes dents ta langue passant sur mon cœur le mordant le pressant contre ta bouche féline, tigre, griffes détraquées s'attaquant en silence à la peau charmante de mon dos tu joues du piano du piano du piano tout nu sur ta chaise tu joues a m'éviter ta tendresse s'échappe de chaque note et la pluie jalouse de tes doigts ne daignera pas ce soir tomber du ciel.